Blog Littéraire
Retour sur mes lectures du mois d'avril. Au programme deux premiers tomes et une conclusion de saga, avec au menu réécriture féminine d'un récit historique en Corée, redécouverte des prémices de la guerre de Troie, et conclusion de l'histoire tumultueuse d'une famille et d'un manoir hanté.
« Un terrible secret hante ces murs... Dans l'impasse de Needless Street se dresse une maison isolée et solitaire, à l'image de son propriétaire, Ted Bannerman, un étrange personnage. Dee, qui vient d'emménager dans la maison voisine, est persuadée qu'un terrible secret pèse sur les lieux. Ted aurait-il un lien avec cette disparition d'enfant survenue onze ans plus tôt dans les environs ? Que se passe-t-il vraiment derrière la porte de la dernière maison avant les bois ? Quelque chose est bien enterré dans la forêt. Mais ce n'est pas ce que vous pensez... La Dernière Maison avant les bois est en effet l'un des romans les plus inattendus qu'on ait lus depuis longtemps – et certainement celui dont vous aurez le plus envie de parler cette année. »
« Peuplées d’adolescentes rebelles, d’étranges sorcières, de fantômes à la dérive et de femmes affamées, les douze histoires qui composent ce recueil manient avec brio les codes de l’horreur, tout en apportant au genre une voix radicalement moderne et poétique. Si elle fait preuve d’une grande tendresse envers ses personnages, souvent féminins, des êtres qui souffrent, qui ont peur, qui sont opprimés, Mariana Enriquez scrute les abîmes les plus profonds de l’âme humaine, explorant de son écriture à l’extraordinaire pouvoir évocateur les voies les plus souterraines de la sexualité, du fanatisme, des obsessions. »
« Perversion des âmes et poésie du macabre au service d'une des fictions les plus noires jamais publiées sur les serial killers : sans concession, choquante, répulsive. Un roman fascinant et extrémiste. Un livre violent dont aucun lecteur ne sortira indemne. »
La Maison des feuilles, c'est un monstre qui en renferme d'autres. c’est un théâtre dans le théâtre qui semble ne jamais finir. Tout part d’un film. Un film racontant l’histoire d’un homme et de sa famille qui s’installent dans une nouvelle maison dans l’intention de se mettre au vert. Navidson, le père, décide de placer des caméras de manière à tout filmer dans la maison. Mais quand il commence à se produire d’étranges événements entre ces murs, tout va basculer.
Cet été a pour moi été rythmé par la lecture commune des Aventuriers de la mer avec @ledodolecteur (Instagram). Débutée au mois de juillet et terminée depuis peu, cette saga était la seule de l’univers du Royaume des Anciens que je n’avais pas encore lu, alors même que L’Assassin royal fait partie de mes premières grandes lectures fantasy et est surtout l’une de mes sagas préférées. Voici mon retour de lecture.
Aujourd’hui, je vais revenir sur ce weekend passé, qui a été bien malgré lui riche en lecture. Mon objectif originel était de lire Anne et sa maison de rêve, le cinquième tome de la saga toute douce de Lucy Maud Montgomery, réédité par les éditions Monsieur Toussaint Louverture. Finalement, suite à une panne internet, qui a donc paralysé beaucoup d’autres activités régulières chez moi, j’ai non seulement lu ce volume, mais j’ai également lu entièrement deux autres romans : L’Hunter, tome 1 de la saga L’ange déchu de Marion Obry aux éditions Plume Blanche, et Vita Nostra, premier tome des Métamorphoses de Marina et Sergueï Diatchenko publié chez L’Atalante.
La dernière page vient de se tourner pour de bon. Mais la saga Blackwater soulève quelques questions.
C’est une saga qu’on voit beaucoup en ce moment, et pour cause : un tome sort toutes les deux semaines depuis début avril. Au-delà de la fabuleuse manière (de la non moins fabuleuse maison d’édition) de sortir chaque partie de cette saga qui rappelle un roman feuilleton, qu’est-ce qui rend cette dernière si spéciale ?
Gros coup de cœur pour ce livre qui m’a beaucoup rappelé une sorte de mélange entre La Maison dans laquelle de Mariam Petrosyan et The Secret History de Donna Tartt.